Ces références concernent le traitement de l’acné par voie générale.
1) Il n’y a pas lieu, du fait des dangers tératogènes, d’entreprendre un traitement de l’acné par Isotrétinoïne, sans vérifier qu’il n’y a pas de grossesse en cours (test qualitatif de grossesse systématique et répété chaque mois) et sans instituer une contraception efficace commencée 1 mois avant le début de l’Isotrétinoïne et poursuivie 1 mois après son arrêt.
2) Il n’y a pas lieu, du fait des dangers potentiels, d’associer dans le traitement de l’acné, les cyclines à l’Isotrétinoïne.
3) Il n’y a pas lieu de prescrire de l’Isotrétinoïne en dehors des acnés sévères nodulo-kystiques et conglobata, et des acnés résistantes aux traitements classiques majeurs.
4) Il n’y a pas lieu, dans le traitement de l’acné, de prescrire l’Isotrétinoïne à une dose inférieure à 0,5 mg/kg/jour -dose initiale optimale- ou supérieure à 1 mg/kg/jour.
5) Il n’y a pas lieu, dans le traitement de l’acné, d’administrer une dose cumulée de plus de 150 mg/kg d’Isotrétinoïne par cure.
6) Il n’y a pas lieu, pour le bilan préalable systématique du traitement de l’acné par l’Isotrétinoïne et, si le traitement est poursuivi, pour le bilan à 1 mois, puis tous les 2 mois, de pratiquer d’autres examens que le dosage des transaminases, du choléstérol total et des triglycérides.
7) Il n’y a pas lieu de prescrire une antibiothérapie pour l’acné purement rétentionnelle (comédons et microkystes).
vendredi 28 décembre 2007
ACNE
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